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Affiche murale géante de carte du monde moderne et artistique :
visuel réaliste, issu d'images satellites de la NASA, aux couleurs vives.
Image très détaillée et informative : les noms des pays et villes sont en Français.

Accueil / Tutoriels / Utilisation d'Omnicalc

Voici comment utiliser toutes les nouvelles fonctions de cette application plus qu'interessante car, en plus des fonctions comme la conversion de bases, la factorisation, la simplification de racines, les sprites, les fonctions de réseau, cette application permet aussi d'activer un assistant de fermeture de parenthèses, de présenter les dernières entrées dans un menu, d'utiliser différentes polices de caractères, etc...

1/ Bien démarrer avec Omnicalc : Installation :
Pour utiliser Omnicalc envoyez le fichier omnicalc.8xk dans votre TI.
Pour démarrer l'application, appuyez sur la touche [APPS] (en bleu) et sélectionnez Omnicalc.
Il vous faudra l'installer : passez l'écran d'introduction et choisissez "1: Install/Uninstall".
Si vous voyez le message "Hooks exist. Overwrite?", c'est qu'une autre application utilise les hooks (permet d'activer une action lors d'un appui sur une touche, comme l'ouverture d'un menu...) dont Omnicalc a besoin. Répondez "Yes" (sinon, l'installation échouera) : les autres applications utilisant ces hooks seront désactivées.
"Hooks installed" doit s'afficher.

Compatibilités :

- Il est recommandé de désactiver l'application Français (ou tout autre language) avant l'installation.
- Symbolic : vous devez avoir la version 1.8 pour n'avoir aucun problème avec cette application (dans le cas contraire, Symbolic sera juste désactivée).
- MirageOS : Avant toute installation, décochez les options "Quick Key Repeat", "ALPHA/APPS+ON" et "Block the Memory Menu From Access" (dans "Tasker And Key Hooks").
En pressant [ON] [APPS], Omnicalc exécutera automatiquement MirageOS s'il existe sur votre calculatrice.
Même si vous n'avez pas MirageOS, vous aurrez accès à la fonction [ON] [ALPHA] : elle permet d'éteindre la calculatrice en la laissant tel quelle lorsque vous la réallumerez (très utile lors de l'édition d'un programme).

2/ L'écran des options :
Démarrez Omnicalc et choisissez "2: General Settings".

- Parentheses Assistant : lorsque vous appuyez sur une parenthèse fermante, la parenthèse ouvrante correspondante est mise en inverse pour vous retrouver plus facilement dans une grande équation. S'il n'y a aucune parenthèse ouvrante correspondante, vous ne pourrez pas la fermer.

- Memory Protection : Permet de ne pas autoriser "Reset" dans le menu MEM mais aussi d'empécher toute suppression de variables (ou programmes) dans ce même menu (mais permet toujours la visualisation et l'archivage).

- Entries Menu : Lorsque vous appuirez sur [2nd] [ENTRY], les dernières entrées vous seront proposées sous forme de menu bien plus pratique.

- RAM Recovery (uniquement pour TI-83 Plus Silver Edition) : Cette fonction fera automatiquement une sauvegarde du contenu de la RAM lorsque vous éteignez votre calculatrice. Si vous appelez la fonction RestoreMem(), vous pourrez restaurer le contenu de la RAM ainsi enregistré.

- Virtual Calculators (uniquement pour TI-83 Plus Silver Edition) : Vous permet de créer une seconde "TI virtuelle" (vous aurrez ainsi deux TI en une). Pour passer de l'une à l'autre, faites la combinaison de touches [ON]+[MODE] : "1" ou "2" apparaîtra en haut à droite pour vous rapeler celle que vous venez d'activer.

- Base Conversion : Permet l'affichage de résultats dans une base donnée. Faites la combinaison de touches [ON]+[LOG] et entrez la base dans laquelle vous souhaitez faire apparaître les résultats. Pour ceci, entrez un nombre entre 2 et 36.
Attention : pour des bases inférieures à 10, vous devez la faire précéder par un zéro.
Pour revenir à l'affichage décimal par défaut, entrez juste 10.
Exemple : [ON]+[LOG] [0] [2] active l'affichage binaire ; ainsi, 28 donnera l'affichage 11100b.
Nous verrons plus loin comment modifier la base en entrée.

3/ Extensions de l'OS :
Omnicalc permet bien d'autres choses qui n'étaient pas permises avant.

- Presse-papier : Permet le copier/coller !
1. Déplacez le curseur au début de la chaîne à copier
2. Pressez [ALPHA] sans relacher et appuyez sur la touche [>] (droite) pour sélectionner ce que vous désirez copier
3. Toujours sans relacher [ALPHA], appuyez sur [^] (haut) pour faire un copier : vous pouvez maitenant relacher [ALPHA]
4. Pour coller, positionnez-vous où vous désirez coller (logique)
5. Appuyez sur [ALPHA] et pressez [v] (bas) (tout en maintenant [ALPHA] bien sûr) : c'est fait !

- Menu personnalisé : met à votre disposition un menu où vous pouvez ranger les huit commandes que vous utilisez le plus.
Pour y accéder, appuyez deux fois sur la touche [VARS] et sélectionnez la commande désirée.
Pour remplire ce menu, c'est tout aussi simple : allez dans le catalogue ([2nd] [CATALOG]), pointez la fonction désirée et pressez [ON]+[x], où [x] est une touche numérique entre 1 et 8 qui asignera la position (et donc la touche raccourci) dans le menu perso.
Exemple : [ON]+[1] pour placer la fonction dans le premier élément du menu.
Pour supprimer une commande du menu, allez dans ce menu et pointez l'élément désiré : vous n'avez plus qu'à appuyer sur [DEL].

- Clear partiel : Cette fonction pour permet d'utiliser la touche [CLEAR] à la façon de la TI-89 :
Si le curseur est à la fon de la ligne (dans l'écran principal de la TI) et que vous appuyez sur [CLEAR], toute la ligne sera effacée (jusque là pas de changement).
Si le curseur est au milieu de la ligne (ni au début ni à la fin), ce sera juste les caractères après le curseur qui seront effacées (et si vous réappuyez une seconde fois, ce sera toute la ligne).

4/ Les fonctions complémentaires :
Omnical donne accès à de très interessantes fonction, en plus des modifications de l'OS vues ci-dessus.
Pour y accéder, appuyez deux fois sur [PRGM] : vous verrez alors trois menus.
Lorsque vous pointez une fonction de ce menu, il vous est possible d'appuyer sur [+] pour obtnir la syntaxe de celle-ci et son utilité.

Menu "PRGM" :

- sprite() : Uniquement pour les programmeurs. Si vous n'êtes pas dans ce cas, passez au menu "MATH" afin de ne pas être trop dégouté de cette application ;-)
Bon, pour le reste, usez de patience : c'est la fonction la plus utile et la plus interessante pour vous !
Si vous comprennez vous pourrez faire pas mal de très bon jeux avec...
Cette fonction permet de prendre une partie d'une variable Picx (une image, donc) et de l'afficher n'importe où à l'écran. Qui dit afficher dit aussi effacer : on peut donc faire bouger une petite image (un missile, vaisseau...) ou juste afficher plus rapidement une grille (murs, objets...). En plus de cela, la fonction sprite() permet aussi de dessiner un objet dans le graph buffer (tampon, en anglais) : ainsi, vous pouvez exécuter votre code et, une fois tous les dessins ajoutés, il ne vous reste plus qu'à rafréchir l'écran avec ce tampon pour que toutes les modifications apparaîssent instantannément !!!
Passons à la pratique :
Syntaxe : sprite(Picx,X,Y,W,H,Xdest,Ydest[,opt])
Tous ces paramètres sont des nombres réels (ou variables), hormis le premier qui est le nom d'une image
Les crochets ne font bien sûr pas parti de la syntaxe mais sont là pour faire remarquer que le dernier paramètre est facultatif
Picx : Nom de l'image où est stoqué le sprite (de Pic0 à Pic9)
X : Coordonnée X du sprite dans Picx : de 0 à 94, multiple de 8
Y : Coordonnée Y du sprite dans Picx : de 0 à 62, multiple de 8
W : Longueur du sprite, multiple de 8
H : Hauteur du sprite, multiple de 8
Xdest : Coordonnée X du sprite sur l'écran
Ydest : Coordonnée Y du sprite sur l'écran
opt : Paramètre facultatif de 0 à 3 (valant 0 par défaut) renseignant la façon dont le sprite doit être dessiné :
     0 : Le sprite est dessiné dans le graph buffer et mis à jour automatiquement, desinné avec le masque XOR
     1 : Le sprite est dessiné dans le graph buffer sans mise à jour, desinné avec le masque XOR
     2 : Le sprite est dessiné dans le graph buffer et mis à jour automatiquement, desinné avec le masque OR
     3 : Le sprite est dessiné dans le graph buffer sans mise à jour, desinné avec le masque OR
Retour : avec opt = 0 ou opt = 2, le sprite est dessiné directement sur l'écran, soit avec la méthode XOR (inversion de la couleur des pixels) ou avec la méthode OR (affiché en noir)
Exemple :
:For(X,0,87,8)
:For(Y,0,55,8)
:sprite(Pic0,0,0,8,8,X,Y,1)
:End:End
Pic0 doit contenir le sprite en (0,0) de dimensions (8,8).
Le sprite est stoqué dans le graph buffer en inversant les pixels (opt = 1) aux coordonnés (X,Y) suivant deux boucles For() incrémentants les variables X et Y.
Cela peut serir, par exemple, à remplir l'écran avec une mosaïque (ou, en plus éllaboré, dessiner une pièce avec des murs et des objets).
Du fait de la méthode d'affichage 2, l'écran n'affichera rien : il faudra afficher un nouveau sprite avec la méthode 0 ou 2 (un sprite blanc de (8,8) par exemple) : les sprites apparaîtrons alors à l'écran instantanément.
Dans le même orde d'idée, si vous souhaitez faire un objet qui bouge, vous devrez l'afficher une première fois avec la méthode 0 et ensuite avec la méthode 1. Puis 0, puis 1, 0, 1, etc... Ainsi, l'objet sera affiché puis supprimé (grace au masque XOR) mais pas à l'écran (grace à la méthode 2), puis réaffiché quelques pixels plus loin : c'est alors que l'écran est rafréchi : il n'y a aucun temps de latence entre l'effacement et le réaffichage...
Utilisations possibles : Vous l'aurez surement compris cette fonction est une révolution pour la programmation BASIC. Elle permettra de créer simplement et efficacement des RPG (affichage du monde et des personnages se déplaçant) et autres jeux en 2D comme les jeux de plateau (affichage du plateau et déplacement des pions). Mais aussi pour des jeux dessinant beacoup et demandant de la vitesse et de la fluidité comme des shoot-em-up (dessin des vaisseaux et missibles se déplaçant). Vous pouvez vous en servir pour afficher une image à un endrois précis de l'écran (avec plusieurs sprites, mais attention aux sorties d'écran) ou pour des animations fluides sans utiliser ClrDraw...
Bref, cette solution n'est pas encore aussi rapide que l'assembleur mais à défaut on s'en contente avec joie si on n'affiche pas trop de sprites à la fois...

Menu "MATH" :

- !n() : Fonction utilisée en probabilités : Donne le nombre de permutations possibles d'une liste sans que ses constituants ne reviennent dans leur positions initiales.
Syntaxe : !n(R)
R: un nombre réel ou une variable
Retour : un nombre réel
Exemple : !n(3) :: 2 :: Soit une liste {1,2,3}, en permutant ses nombres, on peut l'écrire aussi {3,2,1} ou {2,3,1} sans qu'aucun de ses nombres ne reviennent à leur position d'origine : la fonction fourni donc 2.
Astuce : Pour obtnire le nombre délément d'une liste (et ainsi le passer en paramètres à la fonction), utilisez dim() : fonction de l'OS dans le menu [LIST].

- baseInput() : Permet d'entrer un nombre dans une base et de le convertir dans une autre.
Syntaxe : baseInput(Str,R[,R])
Str : une chaine de caractères ou une variable Strx contenant le nombre dans la base d'origine à transformer
R : un nombre réel ou une variable représentant la base d'origine
[,R] : paramètre facultatif (les crochets ne doivent pas être repris) : un nombre réel ou une variable représentant la base de sortie si différente de la base d'affichage (voir Base Convertion)
Retour : affichage du nombre donné avec la base d'affichage ou celle donnée en paramètres.
Exemple 1 : baseInput("110",2) :: 7d :: le nombre "110" dans la base d'entrée 2 (binaire) est affichée dans la base d'affichage par défaut (en décimal).
Exemple 2 : baseInput("110",2,16) :: 7h :: le nombre "110" dans la base d'entrée 2 (binaire) est affichée dans la base 16 (en hexadécimal).

- const() : Donne la valeur d'une constante.
Syntaxe : const(Str)
Str : une chaine de caractères ou une variable Strx contenant l'une de ces abréviations :
NA, K, CC, EC, RC, GC, G, ME, MP, MN, H, C, U.
Retour : un nombre réel
Exemple : const("G") :: 9.80665 :: Affiche la valeur de la constante de gravité.

- factor() : Factorise le nombre en nombres premiers.
Syntaxe : const(R)
R : un nombre réel ou une variable représentant le nombre à factoriser (doit être positif)
Retour : une liste
Exemple : factor(96) :: {2 2 2 2 2 3} :: Factorise 96
Astuce : Pour savoir si un nombre est premier ou pas, utilisez cette fonction : si vous obtenez une liste avec juste le nombre que vous avez mis en paramètre, c'est qu'il est premier.

- gamma() : Retourne le gamma d'un nombre.
Syntaxe : gamma(R)
R : un nombre réel ou une variable
Retour : un nombre réel ou une variable
Exemple : gamma(8) :: 8040

- mod() : Retourne le module arithmetique de deux nombres (le reste de la division entière).
Syntaxe : mod(R1,R2)
R1 : un nombre réel ou une variable représentant le premier nombre de la division
R2 : un nombre réel ou une variable représentant le second nombre de la division
Retour : un nombre réel
Exemple : mod(8,3) :: 2 :: 8/3=2 et il reste 2

- simp√() : Simplifie la racine.
Syntaxe : simp√(R)
R : un nombre réel ou une variable représentant le nombre à l'interieur de la racine
Retour : une chaine de caractère contenant la racine simplifiée
Exemple : simp√(8) :: "2√(2)"

Menu "MISC" :

- linkGet() : Reçoit un octet d'une autre calculatrice par le port de lien.
Syntaxe : linkGet(R)
R : un nombre réel ou une variable valant 0 (tente d'obtenir l'octet immediatement) ou 1 (attendre jusqu'à obtenir l'octet)
Retour : un nombre réel valant soit la valeur de l'octet (de 0 à 255) soit -1 si rien n'a pu être recu
Exemple : linkGet(0) :: -1 :: Juste pour l'exemple !

- linkSend() : Envoi un octet vers une autre calculatrice par le port de lien. L'envoi est immediat.
Syntaxe : linkSend(R)
R : un nombre réel ou une variable de valeur 0 à 255
Retour : un nombre réel valant soit 0 si l'envoi a réussi (si linkGet() a bien reçu l'octet) ou -1 0 à 255) ou -1 si l'octet n'a pas pu être envoyé
Attention : À cause du matériel de la TI-83 Plus Silver Edition, il est impossible de savoir si un octet a été reçu ou non avec ce modèle
Exemple : linkSend(64) :: 0 :: Juste pour l'exemple !

- RestoreMem() : Restaure les données de la RAM (si elle a subit un RAM Cleared ou a été modifiée). RAM Recovery doit avoir été activée.
Syntaxe : RestoreMem()
Exemple : RestoreMem() :: Restaure la RAM d'après le contenu de la dernière fois que vous l'avez éteinte.

- Rom>Dec() : Convertit un chiffre romain en nombre réel.
Syntaxe : Rom>Dec(Str)
Str : une chaine de caractères ou une variable Strx contenant le nombre romain
Les lettres acceptées sont : I, V, X, L, C, D, M
Retour : un nombre réel
Exemple : Rom>Dec("MCMLXVI") :: 1966

4/ Polices de caractères personnalisées :
Omnicalc permet une dernière fonction interessante (pas super utile mais originale) : changer la police de caractères de votre TI.

Changer sa police de caractères :

1. Téléchargez-en sur le site dédié.
2. Envoyez les fichiers (sous forme de programmes) à votre TI.
3. Démarrez Omnicalc et choisissez "3: Font Sets".
4. Choisissez la police à appliquer grace aux touches [<] et [>] (droite et gauche).
5. Pour activer ou désactiver cette fonction, appuyez sur [ENTER] ou [2nd] (la case sera noircie).
6. Quittez Omnicalc et admirez !

Créer sa police de caractères :

Si vous ne trouvez pas votre bonheur, vous pouvez toujours créer vous-même de belles œuvres :
1. Téléchargez Omnicalc Font Creator (pour Windows 95/98/Me/NT/2000/xp).
2. Dézippez le fichier et installez-le.
3. Démarrez-le (via le menu Démarrer).
4. Au bas de la fenêtre du créateur, le numéro du caractère édité en ce moment apparaît (entre 0 et 255) : en cliquant dessus vous pouvez éditer le caractère. Un apperçu vous est montré. Pour passer à un autre caractère, cliquez sur Next (le caractère suivant) ou sur le menu Switch Character (il vous sera proposé les caractères les plus utilisés, pour les restants, vous devrez entrer le numéro du caractère). Par défaut, le dessin du caractère tel que le TI-OS le dessine vous est donné.
5. Quand vous aurrez fini, cliquez sur le menu Compile : entrez le nom du fichier (limité à huit caractères) et cliquez sur OK.
6. Une fenêtre ODS s'ouvrira : lorsqu'elle contiendra "Finished", fermez-la.
7. Le fichier sera sauvegardé au format .8xp : vous pourrez alors le transférer à votre calculatrice (par défaut dans le dossier C:\Program Files\Omnicalc).

5/ Désinstallation :
ATTENTION : avant de supprimer Omnicalc, vous devez le désinstaller.
Pour cela, démarrez-le et choisissez "1: Install/Uninstall".
Si le message "Rename illegal tokens" apparaît, cela veux dire que des programmes, chaines de caractères ou simplement les dernières entrées contiennent des fonctions d'Omnicalc (que vous vous apprétez à désinstaller).
Répondez de préférence par "Yes" : les fonctions concernées seront remplacées par un point d'interogation à l'envers.
Par contre, si vous voulez juste désinstaller l'application temporairement (pour faire fonctionner une application non compatible ou plus simplement pour mettre à jour Omnicalc), vous pouvez répondre par "No".
Si vous ne les supprimez pas et que vous y accédez, cela peut donner une suite innintéligible de caractères ou planter la calculatrice. Si un programme contient ces fonctions, une erreur de version apparaîtra.

Liens connexes

Documentation générale sur Omnicalc : http://www.detachedsolutions.com/omnicalc/